Comment éviter d’avoir des ennuis avec la police ou la gendarmerie lors d’une visite d’un bâtiment abandonné ? On vous explique les bonnes pratiques pour une pratique de l’urbex 100% légale et 100% divertissante.
Demander la permission.
Après avoir trouvé un abandon à explorer, consultez les bureaux des impôts du département pour obtenir des informations sur la propriété. Les dossiers fiscaux sont un bon point de départ et révéleront généralement les informations sur le propriétaire. Après avoir trouvé le propriétaire, il peut être préférable de lui rendre visite en personne plutôt que d’appeler. Cela facilite la signature des décharges de responsabilité, des renonciations et l’obtention de documents prouvant que vous êtes autorisé sur le site. Obtenir l’autorisation de visiter un site est généralement facile, mais cela dépend du propriétaire foncier et du site lui-même. Si le bâtiment s’effondre, le propriétaire peut ne pas vouloir d’explorateurs là-bas, même avec une dérogation.
Contacter la mairie
Certains lieux abandonnés sont accessibles en leur demandant. Ce ne sera pas le cas pour tous les emplacements, mais c’est une bonne idée si le propriétaire est difficile à trouver ou à contacter.
Organisez une visite.
Cela peut être très facile avec des sites qui ne sont pas préservés mais qui ont une valeur historique. Souvent, le propriétaire ou un groupe de préservation emmènera les visiteurs dans une visite privée. Certains urbexeurs n’aiment pas être accompagnés, mais le guide peut apporter des informations rares sur l’histoire ou l’architecture du site.
Ne vous appelez pas un « urbexeur »
Un « Photographe » est beaucoup plus susceptible d’obtenir des autorisations ou des visites. Tout le monde sait ce qu’est un photographe, mais « l’explorateur urbain » très peu de gens connaissent cette expression.
N’apportez pas de tournevis ou d’autres outils
Rien de plus qu’un appareil photo et une lampe de poche. Si le police vous interroge, comment expliquerez-vous la présence d’outils dans votre sac ?
Ne prenez pas de souvenirs.
Il est tentant de saisir ce vieux magazine par terre, mais c’est une mauvaise idée pour vous et pour le passe-temps en général. Si le propriétaire trouve quelque chose qui manque, il ne donnera probablement pas la permission au prochain explorateur. Veillez également à ne pas jeter. Comme on dit, « ne prenez que des photos, ne laissez que des empreintes de pas ».
L’urbex légal demande un peu de travail, mais c’est un moyen agréable d’explorer et de photographier d’étonnants lieux abandonnés !